Réduire ses émissions de CO₂ grâce aux filaments recyclés

L'innovation sociétale au cœur de nos engagements

Soucieuse d’offrir toujours plus de transparence aux utilisateurs, KIMYA publie l’Analyse de Cycle de Vie (ACV) de ses filaments 3D PETG. La conclusion : l’utilisation du filament en PETG recyclé permet de réduire les émissions en kgCO₂ de 35% par rapport au PETG standard. Pionnier dans le développement de matériaux 3D éco-conçus, KIMYA souhaite encourager les utilisateurs à privilégier les filaments recyclés dans une logique de durabilité et de préservation des ressources !

L’Analyse de Cycle de vie qu’est-ce que c’est ?

L’Analyse de Cycle de Vie (ACV) est une analyse multi-étapes et multi-critères, qui permet de mesurer les impacts environnementaux générés par un produit ou un service, et ce, tout au long de son cycle de vie : de l’extraction des matières premières à la fin de vie, en passant entre autres par les étapes de fabrication et d’usage. Pour réaliser l’ACV de ses filaments PETG, KIMYA s’est associée au cabinet Greenly dont l’analyse s’appuie sur la méthodologie de l’ADEME.

Benoît Stoeux, Directeur général de KIMYA commente :

« Née de notre ADN et d’une demande forte de nos distributeurs, l’Analyse de Cycle de Vie menée sur nos filaments PETG standard et recyclé permet d’informer en toute transparence l’utilisateur sur l’impact environnemental des matériaux qu’il utilise, afin de l’encourager à faire le choix d’alternatives plus respectueuses de l’environnement »

-35% des émissions de CO₂ grâce au filament Kimya PETG recyclé

L’ACV du filament 3D Kimya PETG recyclé affiche une émission de 4,08 kgCO₂ contre 6,27 kgCO₂ pour le filament Kimya PETG standard. L’utilisation du filament recyclé permet ainsi de réduire les émissions de 35% par rapport à son équivalent standard.

Benoît Stoeux, Directeur général de KIMYA ajoute :

« Notre démarche d’ACV s’inscrit dans la continuité de notre engagement en faveur d’une production plus durable comme en témoigne notre gamme « Remake » de filaments recyclés que nous continuons d’étoffer pour répondre à tous les besoins. En parallèle, nous menons aussi des réflexions sur nos packagings qui sont désormais 100% éco-conçus à base de carton recyclé et d’encre soluble. Sans oublier les flasques de maintien de nos bobines de filaments 3D qui sont aujourd’hui en polycarbonate 95% recyclé. La prochaine étape pour KIMYA : mener un bilan carbone complet de notre activité afin de chiffrer précisément notre empreinte carbone et d’entreprendre des actions cibles, afin de réduire nos émissions de CO₂. »

Produire juste, sans gaspillage de ressource grâce à l’impression 3D

Selon le « Baromètre de l’Impression 3D » 2022 de Sculpteo , la fabrication additive améliore l’impact environnemental des activités des utilisateurs interrogés (dirigeants, ingénieurs, designers) : 41% d’entre eux affirment que la fabrication additive aide les entreprises à atteindre leurs objectifs en termes de durabilité, et 61 % des fabricants estiment que cette technologie permet de produire en bonne quantité, selon le besoin nécessaire.

Benoît Stoeux, Directeur général de KIMYA conclut :

« Née de la volonté d’ARMOR GROUP de faire des déchets une véritable ressource, KIMYA est arrivée sur le marché de la fabrication additive en 2016 en proposant un premier filament conçu à partir de chutes industrielles de packaging alimentaire. Chez KIMYA, nous sommes convaincus que l’impression 3D est une technologie qui permet de produire au plus près des besoins, sans gaspillage des ressources »